Entreprises et universités réclament plus formation en emprendimiento pour les jeune

Dans les rencontres, conduits par Eduardo Ortega, rédacteur chef de l'Espagnol-Invertia, sont intervenu entre autres personnalités, Juan Manuel Brun *Bonilla, président de la Junte de l'Andalousie; Antonio Sanz, conseiller de la Présidence, Intérieure, Dialogue Social et Simplification Administrative; et Catalina García Carrasco, conseillère de Santé et Consommation. 

Pendant ces journées, les entreprises et universités de l'Andalousie ont manifesté le besoin de que les jeunes reçoivent formation sur emprendimiento. 

Sara Tour, directrice de de l'unité d'Employabilité et Emprendimiento de l'Université Européenne, a souligné que la formation en création d'entreprises est clef, et que c'est pour cela que, dans son centre ils racontent avec des bavardages, formation, ateliers et dépistage temprana de l'entreprenant. "Nous enseignons aux jeunes à développer son idée et à comment la vendre après", il a expliqué.  

Marina Rosales, chef du service de secrétariat de Transfert de la Connaissance et *Emprendimiento de l'Université de Séville a aussi souligné l'importance de cette formation, et son pari aussi parce que ses étudiants ils entreprennent. Mais ne seulement les étudiants, mais il a aussi signalé qu'autant  professeurs et chercheurs ont beaucoup qu'apporter, et il a consacré une spéciale attention aux femmes, puisque sont moins de présents dans le secteur généralement.